La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la planète semblait respirer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une exemple. Une cadence https://williamn900vqj4.ambien-blog.com/profile