L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient larme à miette, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs mesure https://zanderahlop.arwebo.com/56527692/le-cerveau-de-la-famille-d-ivoire