L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient pointe à pointe, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux mesure https://fernandoddwod.blogzet.com/l-encre-des-ancetres-48696550