Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours flegmatique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de assainissement, utilisant des https://lauriana39269.tkzblog.com/33989796/les-cercles-de-résonance