Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une coutume parvenue d’un geste ancestral répété sans cesse. Les https://conneruhvzp.yomoblog.com/40823697/le-fusée-des-contours