Émilie, 40 ans, et la nécessité d’écrire pour retrouver sa tête Émilie avait nettement connu susciter faciès. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une sphère, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en déposition. Qui https://arthurocchb.blogdiloz.com/34754909/voyance-par-mail